13 janvier 2005
Enfin quelques commentaires
Une fée, et Vlad, ce cher Vlad. Merci pour vos commentaires. Merci pour vos lectures.
Au passage, toujours pas de commentaires de la part de Petits. Les Humains méprisent-ils à ce point ma race? Ou suis-je simplement paranoïaque, et pourvu d'un blog mal référencé?
Cela dit, si j'ai pu utiliser mon prénom pour ce blog, c'est que peu le connaissent. Les propos et regards des Petits que je cotoies ne sont ni lourds ni insultants. Du moins rarement. Mais ils ne sont pas amicaux non plus.
Cela a toujours été, et je ne m'en suis jamais plaint. Car c'est moi qui ai voulu et obtenu, à force de travail et de volonté, le poste que j'occupe actuellement, dans les bureaux. Mieux payé, plus gratifiant intellectuellement. Je désirais par dessus tout quitter cet emploi physique et humiliant qui consistait à trimballer des putains de caisses de deux fois ma taille sous les ordres de Petits qui ne se sentaient pas pisser.
Au lieu de me rebeller, de séparer la tête de l'un de ces cheffaillons du reste de son corps, je n'ai eu de cesse de travailler pour pouvoir, à mon tour, commander aux cheffaillons. J'étais tombé dans le piège, j'avais perdu l'esprit d'indépendance des Trolls, pour être assimilé par la notion humaine de progrès social.
o
Au passage, toujours pas de commentaires de la part de Petits. Les Humains méprisent-ils à ce point ma race? Ou suis-je simplement paranoïaque, et pourvu d'un blog mal référencé?
Cela dit, si j'ai pu utiliser mon prénom pour ce blog, c'est que peu le connaissent. Les propos et regards des Petits que je cotoies ne sont ni lourds ni insultants. Du moins rarement. Mais ils ne sont pas amicaux non plus.
Cela a toujours été, et je ne m'en suis jamais plaint. Car c'est moi qui ai voulu et obtenu, à force de travail et de volonté, le poste que j'occupe actuellement, dans les bureaux. Mieux payé, plus gratifiant intellectuellement. Je désirais par dessus tout quitter cet emploi physique et humiliant qui consistait à trimballer des putains de caisses de deux fois ma taille sous les ordres de Petits qui ne se sentaient pas pisser.
Au lieu de me rebeller, de séparer la tête de l'un de ces cheffaillons du reste de son corps, je n'ai eu de cesse de travailler pour pouvoir, à mon tour, commander aux cheffaillons. J'étais tombé dans le piège, j'avais perdu l'esprit d'indépendance des Trolls, pour être assimilé par la notion humaine de progrès social.
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